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René Dumont écrivait en en 1961 « L’Afrique noire est mal partie ». Il s’agissait en substance de ce pari de l’exploitation effrénée de son sous-sol qui regorge de plus de 30% des "ressources" de la planète, assurant ainsi la RICHESSES des pays dits développés et scellant « Le développement du sous-développement » de la mère de l’humanité. (Samir Amin, Furtado, Gunder Franck, etc.)

Mais si l’on voit bien les mots et les maux, la tragi-comédie de l’Histoire écrite par Molaire et Rabelais : colonie et colonisation signifient « espace réservé à l’agriculture » !

I l y a double trahison des clercs

Les colonisateurs, au lieu d’encourager l’agriculture pour l’autosuffisance alimentaire, ils ont enferré la plèbe colonisée à la glèbe, promouvant plutôt les culture de rente, ( Cacao, café, etc.), dont les prix sont fixés dans les nuages impénétrables du Dow Jone, du Qaq 40 et autres balloches de la ..Bourse.

Donc, Bauxite, Fer, Diamant , Uranium hautement indigestes pour les lamdas abrutis par l’air pollué des métaux lourds de sang et de sueur..

Envie de vomir..                                  

Je vais relire « L’homme révolté »,ou surtout « La nausée ». N’est-ce pas, il faut que je réconcilie Sartre et Camus dans ma tête.

SNB pour

www.nrgui.fr

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Cessez de terroriser nos enfants, ils ont un examen à passer !

C’est quoi ce système où c’est l’enseignant qui forme mais le ministre qui évalue ?

Vous avez bien dit « Mérite » ? Eh bien, bravo !

Mais me semble que l’État vous emploie et vous rémunère pour gérer le système afin qu’il forme nos enfants et les prépare à réussir leur apprentissage et leur vie tout simplement. Maintenant, ils ont un examen à passer, pas seulement des épreuves « à affronter » comme l’écrivent nos journaleux et autres apprentis sorciers haut-parleurs. Je ne vous apprends rien en écrivant ici qu’il s’agit d’évaluations certificatives qui sanctionnent aussi bien le niveau d’acquisition des savoirs et compétences de vos élèves, et le processus d’enseignement-apprentissage que vous avez mis en place, de même que la politique éducative nationale que vous êtes chargé de mettre en œuvre dans sa partie enseignement général.

Devant les objectifs des caméras et les micros des médias, votre mine serrée et le ton sec de votre parole font peur aux candidats au lieu de les encourager, alors que cela ne vous coûterait absolument rien de parler normalement comme de bons parents, des éducateurs exemplaires ou simplement comme des humains à défaut d’être des dirigeants charismatiques.

Votre initiative de transformer les salles d’examens en zone de haute sécurité peut paraître légitime. Mais je me demande toujours pourquoi continuer à ne penser qu’à stopper la triche et à ne communiquer que sur cet aspect de votre brillante organisation lorsque les dates des examens nationaux approchent ? Quelle part de respect accordez-vous à vos élèves et comment pensez-vous qu’ils vont cultiver leur estime d’eux-mêmes, l’amour du travail et de la nation ?

Ah ! Si vous étiez véridique et sincère, vous auriez révélé ce que font les gouverneurs et les préfets chacun dans sa zone pour avoir le meilleur taux de réussite possible et, par conséquent, mériter davantage la confiance de je ne sais qui. Avez-vous une seule fois entendu vos délégués dire que dans le pays profond qu’on les loge dans des hôtels avec tous les ‘’honneurs’’ et qu’ils font tellement la fête qu’il leur devient parfois impossible de se rendre au centre d’examen, tellement leur nuit a été auréolée d’étoiles filantes ?

Suite aux échecs massifs enregistrés l’an passé, je vous ai entendu reconnaître face à la presse que le personnel enseignant avait énormément besoin de formation et de suivi ; que l’accès à la profession devrait désormais donner la priorité aux diplômés en la matière. Qu’en est-il ? Qu’est-ce que vous avez fait dans ce sens et que vous avez peut-être oublié de nous présenter ? Quel budget a été dépensé dans la formation des formateurs depuis? Quelle stratégie d’encouragement avez-vous mis en place pour inciter les jeunes diplômés actuels et futurs à se diriger vers l’enseignement et à y rester ?

Je comprends, ou plutôt j’essaie de m’efforcer à comprendre, le fait que le chantier soit colossal et qu’il vous faille poser des actes grandeur nature à effets politico-médiatiques incontestables.

Mais n’oubliez pas qu’on ne peut plus, se contenter de faire des leçons de chose sans la chose. Il faut en finir avec ces cours de physique et de chimie uniquement au tableau sans aucune expérience en laboratoire. Des cours de botanique qui ne permettent même pas à l’élève de connaître les noms et les propriétés des plantes du potager de sa mère à plus forte raison celles du jardin de son école. Je me souviens encore du moment où les élèves me demandaient si tel ou tel écrivain vivait encore, car la majorité des auteurs au programme sont soit étrangers, soit d’une autre époque. Ces cours d’Histoire où on enseigne encore que c’est Christophe Colomb qui a découvert l’Amérique, comme s’il n’y avait trouvé personne à son arrivée en ces lieux.

Une refondation de l’État passe aussi par la réforme des programmes scolaires et une définition claire du type de citoyen que nous prétendons former.

En tout état de cause, je ne peux pas m’empêcher de reconnaître en vous l’homme d’honneur qui tient sa parole. Justement, vu que vous avez eu au moins un an pour préparer vos troupes à aller au champs de bétail (pardon) à la bataille, voire à la guerre , en cas de nouvelle vague d’échec, aurez-vous la sagesse et la gentillesse de simplement démissionner ou attendrez-vous, comme tout bon Guinéen, d’être débarqué du navire ?

Ousmane BANGOURA

Animateur Formateur en éducation permanente

Expert en développement et médiation interculturelle

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Lettre ouverte au Prsident du CNRD, président de La Tansition, initiateur du Dialogue national.

A l'attention des honorables Facilitateur(es) du Dialogue Natioinal.

Nota Bene. Il y a quelque 6 (six) millions de Guinéens résidents à l'Extérueur (et non pas à l' "L'Etranger..), autant dire la moitié des Guinéens résidents. Cette "Diusapora" contribue de façon informelle entre 40 et 60 % au PNB. Mais un centième de cette partie de la nation participe à l 'expression de la volonté du Peuple souverain de notre pays. En bref, voici le scandale : seuls 122 000 Guinéens sont RECENSES au fil des consultaions nationales, depuis l'introduction des "élections libres et transparentes", pour le grand satisfecit de toutes tendances confodues, "Oppositions" et "Mouvances" comprsies.

S'agissant des "Diasporas", je publie ce document comme commencement de preuve de la dispersion, de la division, voire de la diversion qui expliquent largement la marginalistaion des Guinéens de l'Extérieur. Il suffit,  ce parachutage de "représentants" de Guinéens de l'Extérieur par dessus la tête de ceux qui depuis plusieurs décennies ont battu le pavé de la Place Dauphine à la Place Maurice Schuman à Bruxelles, pour que la Guinée ne se fasse pas "malgré le Guinéen", pour pasticher la formule de Jean-Claude Diallo (Paix à soin âme) !  


CONSEIL NATIONAL DES GUINÉENS DE L'EXTÉRIEUR (CNGE)

Association de loi 1901

  1. Associations
  1. Île-de-France
  2. Seine-St-Denis (93)
  3. CNGE

CONSEIL NATIONAL DES GUINÉENS DE L'EXTÉRIEUR (CNGE)
Dernière mise à jour : entre 5 et 10 ans (27/02/2014)

Objet : défendre les intérêts individuels et communs des guinéens de l’extérieur (résidant hors du territoire guinéen) dans les pays de résidence de ses adhérents ; favoriser la création et la consolidation des liens d’entente, d’entraide et de ses solidarités entre ses adhérents.

R.N.A : W931012480

Activités : 

Déclaration | Publication | Type27/02/2014 | 29/03/2014 | Création (Déclaration à la préfecture de la Seine-Saint-Denis)  pdf

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CNGE

Adresse :
1, allée de la Madeleine
93130 Noisy-le-Sec (Ps adresse du président, Saïdou Bokoum), secrétaire Gandhi Haroun Barry : ils sont vivants, jusqu'à preuve du contraire..)

source : https://www.net1901.org/association/CONSEIL-NATIONAL-DES-GUINEENS-DE-LEXTERIEUR-CNGE,2587558.html

De passage récemment à New York, le président Alpha Condé a affirmé que dès son investiture, il s’est attelé à résoudre le problème d’électricité auquel sont confrontés les Guinéens. Devant des Guinéens vivant au pays de l’oncle Sam, le chef de l’Etat a justifié la construction de barrages hydroélectriques par la nécessité de trouver une solution pérenne à la fourniture de l’énergie.

Le pensionnaire de Sékhoutouréyah a indiqué qu’il a bataillé dur contre des organisations internationales de protection des animaux pour l’aménagement du barrage de Koukoutamba dans la préfecture de Tougué.

‘’Qu’est-ce qui a retardé la construction du barrage de Koukoutamba ? C’est à cause des chimpanzés qui y sont. Des ONG occidentales ont dit qu’on ne peut y faire un barrage, parce qu’on va toucher les chimpanzés. Mais pour faire des barrages, moi je déplace des hommes et des villages’’, indique-t-il.

‘’Nous leur avons dit que nous pouvons aussi déplacer les chimpanzés, parce que c’est la Guinée qui a le plus de chimpanzés en Afrique de l’Ouest. Il y a des chimpanzés à Tougué, mais aussi à Gaoual. On peut donc les déplacer de Tougué à Gaoual pour les protéger’’, ajoute-t-il.

Le président Condé affirme qu’il a ‘’perdu trois ans’’ dans des discussions avec ces organisations internationales de protection des animaux. Finalement, souligne-t-il, ‘’je leur ai demandé comment expliquer aux Guinéens que pour faire des barrages, on déplace des hommes, sans pouvoir déplacer des chimpanzés ?’’

‘’Nous avons décidé de faire le barrage de Koukoutamba d’une capacité de 200 mégawatts pour donner le courant à Tougué, Labé, Mali, Dinguiraye, Siguiri et le Mali voisin’’, tranche le chef de l’Etat, précisant que ‘’nous sommes en train de travailler pour lancer le barrage de Foumi qui fera 90 mégawatts pour donner le courant à la Haute Guinée et à la Foret’’.

Relu par SNB pour www.nrgui.com